vendredi 13 mars 2009

Les mains, mes mains

Mes mains captivaient ton regard
Je ne sais si, séduite par les signes du temps
si par éphéméritée de l’instant
je sais seulement que tu hésitais

Peut être voyais-tu là, la main tendue
La main qui blesse. La main qui châtie…
Celle qui caresse, rassure, empêche.
Je ne savais point et pour ne pas gâcher ton espoir
à partir de maintenant,

Je porterai des gants noirs.

Carlos Tronco
Mondeville
13/03/09

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