samedi 21 février 2009

Sonnet pour Ana

Chère Ana, bonsoir, il est tard et me tarde de partir
M’enfermer, dans les songes et m'enchaîner à la nuit
Rêver que vos douces lèvres, embrasent tout mon corps
Et demain vos doux yeux, me regarderont encore

Soyez, ma mie, indulgente, tout poète est un peu fou
N’ayez peur, si je rêve, de la lune et de vous
Vous répondre, me permet, de rédiger sans peine
E oser déclamer, quelque vers qui rassérènent

J'aimerais, il est vrai, de vos lèvres approcher
Même si, je sais bien, ne cueillir, de baiser
Je voudrais cependant, provoquer, le sourire

Ainsi donner, puis-je encore, à vos lèvres, la gaieté
Ou bien, toujours mieux, succomber a vos charmes
Et ôter à jamais, de vos joues, tant de larmes.

Carlos Tronco

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